Construisons Notre Bonheur « n’est pas » un PARTI politique.
Nous sommes un mouvement citoyen dont objet est d’œuvrer pour l’intérêt général et développer une souveraineté individuelle, collective et durable pour construire notre bonheur et celui de nos enfants, notamment ;
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en initiant, en accompagnant ou en soutenant des projets ou des actions qui répondent aux principes de l’économie sociale et solidaire dans tous les secteurs essentiels comme l’alimentation, la santé, l’éducation, la mobilité, l’information, l’édition, les médias, l’énergie ;
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en expérimentant des modèles de gouvernance qui visent le développement des consciences citoyennes et l’avènement d’une société plus horizontale, de proximité et plus humaine ;
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en développant des outils ou en organisant des événements de tous types pour créer du lien, de l’inclusion, de la solidarité et des échanges.
La politique c’est l’organisation de la société et dans un modèle démocratique, cela nous concerne tous !
20 avril 2024, Les Rencontres Du Sens : ALIMENTATION & DÉMOCRATIE
Festival 2022 « Refaisons société »
Départementales 2021
En totale indépendance des partis politiques, nous avons, comme un certain nombre en France, défriché un nouveau chemin, celui de la démocratie citoyenne.
Législatives 2022
De grandes innovations réellement démocratiques ont émergé comme :
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la prise en compte du vote blanc
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Le casier judiciaire vierge pour les élus
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le mandat impératif
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L’ACDC (Assemblée, Coopérative, Démocratique & Constructive)
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Les ambassadeurs citoyens
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L’élection sans candidat…
Avant cela !
Fils d’anciens commerçants estimés et humains, j’ai vécu dans les année 1980, l’arrivée des Hypermarchés (Mamouth…).
Comment faisaient-ils pour vendre moins cher que le prix d’achat ?
Je me suis rendu compte qu’ils n’allaient pas seulement écraser les prix mais toutes les valeurs d’antan et toute une classe sociale !
Les multinationales et la spéculation allaient anéantir l’humain et le vivant !
Dès 1984, je créé ma 1er entreprise et toute ma carrière de petit chef d’entreprise, j’ai du lutter contre « Les banques ».
Alors en 2017 quand j’ai vu un banquier, le représentant de la haute haute finance et des multinationales se présenter comme président de la France, mon sang n’a fait qu’un tout : La politique faisait, sans vergogne, allégeance à la mondialisation et à la spéculation.
Bien que gérant d’un domaine de réception en plein développement, ce qui me demandait plus de 300 h de travail par mois, il fallait que j’aille voir et comprendre cette politique que j’avais, trop innocemment, laissé aux mains de nos élus. Bien souvent sans aller voter car ils avaient su m’en dégouter !
Législatives 2017
